Par Hana M Brimeck
Je ferme la fenêtre, ferme les yeux, me retourne, tombe en arrière et glisse jusqu'au sol. Je prends un moment pour reprendre mon souffle jusqu'à ce que mes pensées soient interrompues par un frisson froid.
« J'ai besoin d'une douche chaude. » me dis-je en me relevant enfin du sol avec un gémissement.
J'enlève mon pull et mon soutien-gorge mouillés, pas comme s'ils faisaient grand-chose pour me couvrir de toute façon. Prenant un moment pour toucher mes seins en les prenant dans mes mains dans une vaine tentative de les réchauffer. Ma jupe tombe sur le sol en une touffe humide suivie de ma culotte en coton rose clair, non transparente. Je regarde dans le miroir mon corps nu, pinçant et soulevant des taches.
J'entre dans la douche, l'eau chaude est agréable contre ma peau froide. Je n'avais pas réalisé à quel point mon corps était froid à cause de la pluie. Mon baiser avec Donatello a rendu mon corps chaud et excité. Je repasse le scénario de son baiser dans ma tête, je ressens toujours la sensation de pomper mon sang. Même sous la douche, je peux sentir un picotement chaud entre mes jambes. Je ferme les yeux, imaginant être à nouveau dans les bras de Donnie. Ses muscles solides, la facilité avec laquelle il me portait, la rapidité avec laquelle il se déplaçait. Gracieux mais incroyablement puissant--.
Mes genoux commencent à se sentir faibles. Avant que je m'en rende compte, ma main glisse entre mes jambes. Mon autre main est sur mon sein, prenant en compte la douceur de ma peau et la légère fermeté de mon sein, mes doigts pinçant légèrement, faisant rouler mes mamelons déjà dressés entre eux.
Je laissai échapper un hoquet alors que mes doigts passaient sur mon clitoris. Toujours aussi sensible mais dieu que ça fait du bien. Mes doigts descendent. Je suis tellement mouillé et pas seulement à cause de la douche. Je peux sentir le jus chaud et glissant couler de ma chatte. Mes doigts pénètrent à l'intérieur, à l'intérieur et à l'extérieur tout en pinçant mon mamelon avec mon autre main.
Je recommence à jouer avec mon clitoris maintenant que mes doigts sont lubrifiés. Je tombe contre le mur de la douche en gémissant. Je peux sentir les pulsations augmenter à mesure que ma respiration s'accélère. J'imagine ce que ce serait d'emmener Donnie au lit, la taille de sa bite, à quoi ça ressemble, ce que ça ferait en me pénétrant, à quoi ressembleraient ses doigts. Je commence à ressentir une sensation de picotement chaud dans ma chatte et le long de mes jambes. Je glisse mon autre main sur mon ventre de ma poitrine à ma chatte, touchant ma peau douce et fraîche glissée par l'eau. Une main sur mon clitoris, les autres doigts glissant dedans et dehors. Oh, plus vite, plus fort, oh mon dieu... baise moi, dieu baise moi je gémis. J'essaie de ne pas jouir pour pouvoir profiter des merveilleux picotements dans ma chatte et mon clitoris, mais les pensées m'excitent trop. Je laissai échapper un gémissement alors que je jouissais.
Je glisse le long du mur de la douche trop faible pour me tenir debout. Alors que je suis assis avec de l'eau coulant de mon corps pendant que ma chatte palpite. À chaque pulsation, mon jus de mon orgasme s'échappe d'entre mes jambes. Je finis de me laver en reprenant mon souffle. Je laisse échapper un gémissement involontaire alors que mon doigt traverse doucement mon clitoris alors que je me rince de mon orgasme.
Enveloppé dans une serviette je sors de la salle de bain enfin réchauffé. « Guézus ! je souffle. Surpris et sans réaliser ce que je faisais je laisse tomber ma serviette. Nonchalamment assis sur mon lit se trouve Raphaël, pas celui que j'attendais ou que j'espérais voir. Mes yeux se plissent, un sourire narquois se dessine sur ses lèvres alors qu'il m'aperçoit entièrement nue à la sortie de la douche.
"Bon." Il marmonne dans sa barbe.
Mes cheveux mouillés collés à ma peau, je sens l'eau couler de ma poitrine jusqu'à mon mamelon. Je prends une serviette et continue à me sécher.
« Tu ne vas pas te couvrir ? demande Raph d'un ton plat et froid en croisant les bras.
"Tu m'as déjà vu, et je suis sûr de m'avoir entendu, alors que reste-t-il à cacher ?" je réponds en nature
"Qu'est ce que tu crois faire?" Il demande, je ne pensais pas que son ton pouvait devenir plus froid mais j'avais tort.
« En sortant de la douche. Que fais-tu dans ma chambre ? Comment es-tu entré dans ma maison ? J'ai repris son ton une fois de plus, "Je sais que j'ai verrouillé mes fenêtres."
Raphaël ignorant les questions se lève et s'avance à grands pas vers moi. "Laisse-moi te dire une chose ma sœur" en mettant son doigt sur ma poitrine, "Donnie est peut-être un nerd ennuyeux mais il est toujours mon frère et si tu le déranges, le mène ou le blesse, tu devras répondre tome." Il soutient son regard pour montrer qu'il est sérieux.
Je retiens son regard et écarte sa main de ma poitrine. Ses yeux se plissent. Je hausse un sourcil. « Est-ce que Donatello sait qu'il a un chien de garde ?
Il baisse son visage vers le mien, "Ne baise pas avec lui d'accord." il grogne.
« Qu'est-ce qui te fait penser que je ferais jamais quelque chose à Donatello ? » Je demande.
« Tu es humain. Nous n'avons pas eu beaucoup de chance avec les humains. Il dit.
«Eh bien, pas besoin de retirer tous les chiens de garde de leur laisse avec moi. Je n'ai aucune intention de blesser ton frère. Je suis reconnaissant, vous m'avez sauvé.
"Je te regarderai." Raphaël apparemment satisfait se glisse hors de la pièce. Il passe la tête à l'intérieur, me regarde de haut en bas, "Je dois dire, sympa au fait" dit-il avec un demi-sourire.
"Je t'ai entendu la première fois, tu n'es pas trop mal toi-même." Mes yeux se baissent sur sa ligne de ceinture, je reviens avec un sourcil levé et un demi-sourire, "Tu ne vas pas te couvrir?"
Raph réalise à ce moment qu'il est debout devant moi. Il hausse les épaules, "Tu m'as déjà vu, ce qu'il reste à cacher." Son expression passa de la colère, et pendant une brève seconde embarrassée, à un demi-sourire. Il me fait un clin d'œil et se glisse dans l'ombre.
J'ai été surpris de voir à quel point il était épais et humain. En pensant à sa taille, ma chatte a recommencé à palpiter, suppliant d'être jouée avec plus. Je me laisse tomber sur mon lit en laissant échapper un soupir exaspéré. Quelle journée, quelle soirée, quelle queue impressionnante. Je me demande si c'est de famille.
Je rampe sous mes couvertures et tente de m'endormir. Je suis épuisé mais énervé par les événements de la soirée, mon corps n'arrive pas à me sortir de la tête le baiser de Donnie et l'image de la remarquable érection de Raph. Mon corps brûle d'autant plus que j'y pense. "Ok, faut penser à autre chose Aimee."
J'ai le sentiment que les choses ne seront plus jamais les mêmes dans ma vie.